J'adore les Audis et en voyant cette S5 mon coeur a failli lâcher!!! Déjà sa couleur, un bleu Bahama électrique d'un éclat d'enfer m'a scotché. Mais quand j'ai vu que c'était un wrap (autocollant), j'ai dis que je voulais le même. Puis je me suis penché un peu sur sa fiche technique, et là encore mon coeur s'est mis a dérailler sévère. A l'intérieur on retrouve des sièges Recaro et une petite dose de carbone, et de wrap bleu pour rappeler l'extérieur, juste ce qu'il faut. Côté suspension, c'est un kit Airlift
performance series suspension V2 Management qui permettent de poser la caisse au sol bien comme il faut. Les jantes Rotiform cachent des freins Stoptech Stage 1. La mécanique est conservée mais un peu boostée grâce a un upgrade de l'électronique Unitronic Stage 2 et une ligne d'échappement complète full inox.
vendredi 14 octobre 2016
Ford Transit pick-up custom
Voilà un projet comme je les aime. Prendre un vilain petit canard et en faire une tuerie. Bon par contre faut savoir s'y prendre parce que là faut pas faire semblant. Découpes, soudures, tronçonnages, re-soudures, etc... Et surtout beaucoup de feeling custom. Hâte de le voir fini celui là!!!
jeudi 13 octobre 2016
Q QorosQloud Qubed 2029 : voici la vraie voiture du futur !
Le concept Q QorosQloud Qubed sera présenté lors du Challenge du Design
du Salon de Los Angeles 2014. Il donne un aperçu de ce qui nous attend
dans le futur : une voiture qui nous comprend, qui nous connait et qui
nous propose ce dont nous avons besoin. Explications.
A quoi ressemblera une voiture en 2029 ? Voici la question, le thème proposé pour la session 2014 de l’Auto Show Design du Salon de Los Angeles 2014, qui débute dans une semaine. Plusieurs concepteurs se sont penchés sur la question et proposeront leur création afin de remporter le titre de la « meilleure création ».
Il faut savoir que cette compétition est très suivie par les manufacturiers, car elle permet souvent de faire émerger de véritables bonnes idées pour le futur tout en faisant la promotion du créateur qui en est l’auteur.
Et cette année, un concept futuriste attire l’attention car il possède les caractéristiques de ce qui semble nous attendre dans le futur. Baptisé Q QorosQloud Qubed, le concept qui provient de la jeune (2007) firme chinoise Qoros, propose tout simplement de connaitre réellement son propriétaire.
Conçu pour apprendre les goûts et les préférences de son conducteur, elle pourra connaitre vos restaurants préférés, la musique que vous adorez, les itinéraires que vous empruntez régulièrement, la personne qui vous accompagne le plus souvent (et ce que vous ressentez pour « elle »).
On notera également un autre aspect qu’on peut définir comme clairement révolutionnaire : si le concept Qoros ne vous sent pas capable de conduire, via ses ordinateurs de bord, il prendra purement et simplement le contrôle et passera en conduite autonome. Le genre d’évolution dont rêve, à raison, la Sécurité Routière.
Alors bien évidemment, tout ceci n’est pas pour tout de suite, puisque le thème est « 2029 ». Mais ça donne une idée très sérieuse des orientations futures que devraient prendre les grands manufacturiers automobiles.
En attendant, ci-dessus, vous pouvez découvrir le look de ce concept Q QorosQloud Qubed. Un design clairement futuriste.
A quoi ressemblera une voiture en 2029 ? Voici la question, le thème proposé pour la session 2014 de l’Auto Show Design du Salon de Los Angeles 2014, qui débute dans une semaine. Plusieurs concepteurs se sont penchés sur la question et proposeront leur création afin de remporter le titre de la « meilleure création ».
Il faut savoir que cette compétition est très suivie par les manufacturiers, car elle permet souvent de faire émerger de véritables bonnes idées pour le futur tout en faisant la promotion du créateur qui en est l’auteur.
Et cette année, un concept futuriste attire l’attention car il possède les caractéristiques de ce qui semble nous attendre dans le futur. Baptisé Q QorosQloud Qubed, le concept qui provient de la jeune (2007) firme chinoise Qoros, propose tout simplement de connaitre réellement son propriétaire.
Conçu pour apprendre les goûts et les préférences de son conducteur, elle pourra connaitre vos restaurants préférés, la musique que vous adorez, les itinéraires que vous empruntez régulièrement, la personne qui vous accompagne le plus souvent (et ce que vous ressentez pour « elle »).
Capable de ressentir vos émotions
Où est la vraie révolution dans ces « options » vous allez me dire. Elle est tout simplement dans le fait que ce concept du futur saura se servir au bon moment de ces informations, car il sera capable de détecter l’ambiance en son sein ! Par exemple, si vous êtes avec votre compagne, et que le Q QorosQloud Qubed détecte de la bonne humeur, il proposera d’aller faire un tour dans l’un de vos restaurants préférés. A l’inverse, si vous êtes seul, nerveux ou triste, il lancera la chanson que vous préférez pour vous détendre. Incroyable !On notera également un autre aspect qu’on peut définir comme clairement révolutionnaire : si le concept Qoros ne vous sent pas capable de conduire, via ses ordinateurs de bord, il prendra purement et simplement le contrôle et passera en conduite autonome. Le genre d’évolution dont rêve, à raison, la Sécurité Routière.
Alors bien évidemment, tout ceci n’est pas pour tout de suite, puisque le thème est « 2029 ». Mais ça donne une idée très sérieuse des orientations futures que devraient prendre les grands manufacturiers automobiles.
En attendant, ci-dessus, vous pouvez découvrir le look de ce concept Q QorosQloud Qubed. Un design clairement futuriste.
Peugeot 205 GTi « Project » Rêve ou réalité???
Vous avez pu le constater à travers nos précédents sujets insolites, parmi lesquels la New Renault 4L ou la Deuchevoccinelle, Gas Kustoms a pris l’habitude de sortir des sentiers battus, sans se
prendre au sérieux. Et vous avez été très nombreux à plébisciter ces
sujets décalés. Cette fois-ci, il n’était point question d’imaginer un
roman-fiction rocambolesque. Nous nous sommes simplement penché sur le
cas de la Peugeot 205 GTi, la plus mythique des petites sportives françaises.
Véritable sex-symbol des années 80 et coqueluche des partisans de la
mouvance « Yougtimer », la bombinette tricolore n’a cependant pas connu
de descendance directe, contrairement à la Golf, qui perpétue depuis 40
ans la tradition du blason GTi. Après la disparition de la Peugeot 205 GTi au milieu des années 90,
Peugeot a frileusement ranimé la flamme au début du siècle avec les
206 S16, puis 207 RC, qui se sont succédées. 20 ans plus tard, le label
GTi renaît enfin au sein de la gamme Peugeot, avec la 208.
Mais rien n’y fait, le mythe de la Peugeot 205 GTi s’en remet aujourd’hui à l’histoire. C’est pourquoi nous avons décidé, à travers un concept-car né de notre imagination, de la ressusciter. Notre Peugeot 205 GTi « Project » s’inspire des lignes tendues et rablées des show-car actuels, tout en distillant les fondamentaux de la sportive sochalienne. Nous avons sciemment écarté le style des Peugeot actuelles pour piocher dans les codes 80’s de la Peugeot 205 GTi originelle. On retrouve ainsi la désuète calandre à barrettes, au milieu de laquelle trône le lion contemporain. Les phares, hypertrophiés, réinterprètent les optiques d’origine, incluant des clignotants oranges. Autre signe distinctif de la proue, les antibrouillards de couleur jaune, comme à la grande époque. A l’arrière, on retrouve les feux carrés caractéristiques, mais au fonctionnement à LED. Mais le clin d’œil le plus marquant réside dans les protections avant et latérales noires, rehaussées du célèbre bandeau rouge. Les entourages d’ailes se parent également de ces fameux bumpers, bruts de décoffrage.
Côté motorisation, tous les fantasmes sont envisageables. Mais par les temps qui courent, un bloc hybride serait le bienvenue, forcément associé à un moteur… 1.9 l, pour honorer la mémoire de celui qui animait la 205, il y a 30 ans. Cependant, loin des 130 ch de l’époque, on serait en droit d’espérer 500 ch de notre concept-car Peugeot 205 GTi « Project », tout comme une certaine 308 R Hybrid, que la firme franc-comtoise nous concocte actuellement.
Malheureusement, tout cela relève bien sûr du fantasme. Celui d’Auto-Moto.com, que nous souhaitions humblement vous faire partager. Il est temps, à présent, de se réveiller. Mais comme quoi, l’automobile n’a pas finit de nous faire rêver…
Mais rien n’y fait, le mythe de la Peugeot 205 GTi s’en remet aujourd’hui à l’histoire. C’est pourquoi nous avons décidé, à travers un concept-car né de notre imagination, de la ressusciter. Notre Peugeot 205 GTi « Project » s’inspire des lignes tendues et rablées des show-car actuels, tout en distillant les fondamentaux de la sportive sochalienne. Nous avons sciemment écarté le style des Peugeot actuelles pour piocher dans les codes 80’s de la Peugeot 205 GTi originelle. On retrouve ainsi la désuète calandre à barrettes, au milieu de laquelle trône le lion contemporain. Les phares, hypertrophiés, réinterprètent les optiques d’origine, incluant des clignotants oranges. Autre signe distinctif de la proue, les antibrouillards de couleur jaune, comme à la grande époque. A l’arrière, on retrouve les feux carrés caractéristiques, mais au fonctionnement à LED. Mais le clin d’œil le plus marquant réside dans les protections avant et latérales noires, rehaussées du célèbre bandeau rouge. Les entourages d’ailes se parent également de ces fameux bumpers, bruts de décoffrage.
Côté motorisation, tous les fantasmes sont envisageables. Mais par les temps qui courent, un bloc hybride serait le bienvenue, forcément associé à un moteur… 1.9 l, pour honorer la mémoire de celui qui animait la 205, il y a 30 ans. Cependant, loin des 130 ch de l’époque, on serait en droit d’espérer 500 ch de notre concept-car Peugeot 205 GTi « Project », tout comme une certaine 308 R Hybrid, que la firme franc-comtoise nous concocte actuellement.
Malheureusement, tout cela relève bien sûr du fantasme. Celui d’Auto-Moto.com, que nous souhaitions humblement vous faire partager. Il est temps, à présent, de se réveiller. Mais comme quoi, l’automobile n’a pas finit de nous faire rêver…
Nouvelle Renault 4L (2017) : SUV qui peut !
Ces derniers temps, le web a alimenté les rumeurs les plus folles quant
au grand retour de la 4L en 2016, sous les traits d’un modèle néo-rétro.
Depuis, Renault a catégoriquement démenti. Mais Gas Kustoms a souhaité
aller au bout du fantasme, en imaginant la genèse de cette nouvelle
citadine, à travers un scénario d’anticipation… délirant !
FICTION RENAULT 4 – Mars 2016. Le torchon brûle depuis plusieurs mois entre Renault et Nissan. Le japonais souhaite renforcer sa participation dans le capital de l’ex-régie. Ce que refuse l’État français, actionnaire majoritaire. Après un bras de fer houleux entre Emmanuel Macron, le ministre de l’économie, et Carlos Ghosn, les deux marques décident d’un commun accord de briser leur alliance. La pression du Japon aura été trop forte. L’annonce fait l’effet d’une bombe à l’ouverture du salon de Genève. Mais elle attire d’emblée les convoitises. Le premier à dégainer sera Sergio Marchionne, administrateur du Groupe Fiat. Ce dernier, à l’origine du rapprochement entre Fiat et Chrysler, cherche à pérenniser son colosse aux pieds d’argile. Bien que la division Jeep, grâce au triomphe du Renegade, nivèle les ventes du groupe vers le haut, le succès reste fragile. D’où la volonté de l’industriel italien de multiplier les coopérations.
Sur le stand Renault du salon suisse, Marchionne n’hésite pas à solliciter Carlos Ghosn. Et de lui rappeler qu’il y a une trentaine d’année, Jeep appartenait à Renault. À l’époque, le rapprochement entre les deux entités s’était soldé par un échec. Mais les temps ont changé. La mode est aux SUV et le Renegade se vend comme des petits pains. Sergio propose à son homologue de tirer profit de la base technique de son petit 4×4, pour commercialiser un modèle rebadgé Renault. Le patron du constructeur français lui fait remarquer qu’il dispose déjà d’un SUV urbain dans sa gamme : le Captur. Quel intérêt à disposer de deux modèles sur un même segment, au risque de les cannibaliser ? À la fin de cet entretien cordial, Monsieur Ghosn remerciera poliment Monsieur Marchionne, avant de rentrer à Paris.
Les mois s’enchainent pour Renault qui s’isole de plus en plus depuis sa séparation avec Nissan. Emmanuel Macron met la pression sur les dirigeants pour se rapprocher d’un autre constructeur, et encourage les coopérations. De son côté, Carlos Ghosn somme les troupes du marketing de pondre l’idée de génie qui sortira Renault de l’ornière. Après de nombreuses séances de brainstorming, une tendance se détache. La vague du néo-rétro est évoquée. Face au succès des Mini et autre Fiat 500, pourquoi ne pas exhumer un ancien modèle Renault à succès ? La direction ne tardera pas à arrêter son choix sur la 4L, véritable mythe du losange. En clair, la mieux à même de séduire les nostalgiques des sixties.
Problème : sur quelle base élaborer cette 4L new look ? Car le temps presse et les finances de Renault ne sont plus au beau fixe depuis que Nissan vole de ses propres ailes. Et concevoir une voiture de A à Z est inenvisageable. Une équation compliquée à résoudre pour Carlos Ghosn, qui décide de reconsidérer l’offre faite par Sergio Marchionne quelques mois auparavant. Il se dit que, finalement, le look carré du Renegade siérait à merveille à une 4L contemporaine. Les équipes du style Renault sont alors sollicitées. Mais Laurens Van Den Acker refuse catégoriquement cette éventualité. Pour lui, qui œuvre depuis tant d’années à dépoussiérer le style Renault, ce serait un crime d’apposer le logo Renault sur une Jeep. Même s’il reconnaît une certaine similitude entre ces deux voitures.
Mais les lois du marketing auront raisons des considérations du patron du design de Renault. Faire revivre la 4L, qui plus est sous les traits d’un SUV, quel savant cocktail ! Carlos Ghosn, sûr de son coup, donne son feu vert au projet 4L 2017, sur base Jeep Renegade. Et Sergio Marchionne d’exulter ! D’autant que ce sont les équipes de Chrysler qui se chargeront de la réinterprétation du Renegade sauce 4L, suite au burn-out de Laurens Van Den Acker.
Afin d’abaisser les coûts, les financiers de Renault offrent peu de marge de manœuvre aux designers américains. La plus grosse concession sera faite à la partie avant du véhicule. Le capot, les ailes et la calandre seront propres au modèle français, et s’inspireront de la 4L originelle. Mais pour le reste, boucliers, portières et caisse autoporteuse demeureront celles de la petite Jeep. À l’arrière, seuls le dessin des feux et de la partie haute du hayon seront modifiés, pour identifier la filiation avec Renault.
Le Jour-J est enfin arrivé. En février 2017, Renault expose fièrement son Renegade « 4Lisée » à Rétromobile, en première mondiale. Un salon jugé stratégique pour le lancement de son modèle néo-rétro. Le losange espère y créer la surprise et séduire les nostalgiques de la Renault 4. Mais rien ne se passera comme la marque l’espérait. Considérée comme une trahison, la new 4L subira un déferlement de haine de la part de ce public de connaisseurs. Aux critiques assassines portées sur le style de la voiture et sur son incompréhensible positionnement de SUV, s’ajoutera une montée de violence comme le monde de l’industrie automobile n’en a jamais connu. À la vue de la nouvelle 4L, de nombreux visiteurs de Rétromobile ne tarderont pas à s’en prendre aux installations du stand Renault. Sans compter les sévices corporels portés aux cols blancs de l’ex-régie, présents ce jour-là. Notamment le DRH qui, après y avoir laissé sa chemise, échappera aux assaillants les plus vindicatifs en escaladant les grilles du parc des expositions de la porte de Versailles.
Un déchainement humain et médiatique sans précédent, qui obligera Renault à abandonner le projet. Alors que les véhicules de présérie finalisaient leur mise au point, aucune New 4L ne sortira des lignes de production de Fiat, à Melfi en Italie. Au grand désarroi de Sergio Marchionne.
La plus grosse déconvenue de l’histoire de Renault aura au moins eu le mérite de remettre sur pied Laurens Van Den Acker plus vite que prévu. Requinqué, il quittera sa maison de convalescence quelques jours après, la nouvelle direction de Renault lui ayant donné carte blanche pour plancher sur un nouveau projet de 4L, à partir d’une feuille blanche. Une affaire à suivre…
FICTION RENAULT 4 – Mars 2016. Le torchon brûle depuis plusieurs mois entre Renault et Nissan. Le japonais souhaite renforcer sa participation dans le capital de l’ex-régie. Ce que refuse l’État français, actionnaire majoritaire. Après un bras de fer houleux entre Emmanuel Macron, le ministre de l’économie, et Carlos Ghosn, les deux marques décident d’un commun accord de briser leur alliance. La pression du Japon aura été trop forte. L’annonce fait l’effet d’une bombe à l’ouverture du salon de Genève. Mais elle attire d’emblée les convoitises. Le premier à dégainer sera Sergio Marchionne, administrateur du Groupe Fiat. Ce dernier, à l’origine du rapprochement entre Fiat et Chrysler, cherche à pérenniser son colosse aux pieds d’argile. Bien que la division Jeep, grâce au triomphe du Renegade, nivèle les ventes du groupe vers le haut, le succès reste fragile. D’où la volonté de l’industriel italien de multiplier les coopérations.
Sur le stand Renault du salon suisse, Marchionne n’hésite pas à solliciter Carlos Ghosn. Et de lui rappeler qu’il y a une trentaine d’année, Jeep appartenait à Renault. À l’époque, le rapprochement entre les deux entités s’était soldé par un échec. Mais les temps ont changé. La mode est aux SUV et le Renegade se vend comme des petits pains. Sergio propose à son homologue de tirer profit de la base technique de son petit 4×4, pour commercialiser un modèle rebadgé Renault. Le patron du constructeur français lui fait remarquer qu’il dispose déjà d’un SUV urbain dans sa gamme : le Captur. Quel intérêt à disposer de deux modèles sur un même segment, au risque de les cannibaliser ? À la fin de cet entretien cordial, Monsieur Ghosn remerciera poliment Monsieur Marchionne, avant de rentrer à Paris.
Les mois s’enchainent pour Renault qui s’isole de plus en plus depuis sa séparation avec Nissan. Emmanuel Macron met la pression sur les dirigeants pour se rapprocher d’un autre constructeur, et encourage les coopérations. De son côté, Carlos Ghosn somme les troupes du marketing de pondre l’idée de génie qui sortira Renault de l’ornière. Après de nombreuses séances de brainstorming, une tendance se détache. La vague du néo-rétro est évoquée. Face au succès des Mini et autre Fiat 500, pourquoi ne pas exhumer un ancien modèle Renault à succès ? La direction ne tardera pas à arrêter son choix sur la 4L, véritable mythe du losange. En clair, la mieux à même de séduire les nostalgiques des sixties.
Problème : sur quelle base élaborer cette 4L new look ? Car le temps presse et les finances de Renault ne sont plus au beau fixe depuis que Nissan vole de ses propres ailes. Et concevoir une voiture de A à Z est inenvisageable. Une équation compliquée à résoudre pour Carlos Ghosn, qui décide de reconsidérer l’offre faite par Sergio Marchionne quelques mois auparavant. Il se dit que, finalement, le look carré du Renegade siérait à merveille à une 4L contemporaine. Les équipes du style Renault sont alors sollicitées. Mais Laurens Van Den Acker refuse catégoriquement cette éventualité. Pour lui, qui œuvre depuis tant d’années à dépoussiérer le style Renault, ce serait un crime d’apposer le logo Renault sur une Jeep. Même s’il reconnaît une certaine similitude entre ces deux voitures.
Mais les lois du marketing auront raisons des considérations du patron du design de Renault. Faire revivre la 4L, qui plus est sous les traits d’un SUV, quel savant cocktail ! Carlos Ghosn, sûr de son coup, donne son feu vert au projet 4L 2017, sur base Jeep Renegade. Et Sergio Marchionne d’exulter ! D’autant que ce sont les équipes de Chrysler qui se chargeront de la réinterprétation du Renegade sauce 4L, suite au burn-out de Laurens Van Den Acker.
Afin d’abaisser les coûts, les financiers de Renault offrent peu de marge de manœuvre aux designers américains. La plus grosse concession sera faite à la partie avant du véhicule. Le capot, les ailes et la calandre seront propres au modèle français, et s’inspireront de la 4L originelle. Mais pour le reste, boucliers, portières et caisse autoporteuse demeureront celles de la petite Jeep. À l’arrière, seuls le dessin des feux et de la partie haute du hayon seront modifiés, pour identifier la filiation avec Renault.
Le Jour-J est enfin arrivé. En février 2017, Renault expose fièrement son Renegade « 4Lisée » à Rétromobile, en première mondiale. Un salon jugé stratégique pour le lancement de son modèle néo-rétro. Le losange espère y créer la surprise et séduire les nostalgiques de la Renault 4. Mais rien ne se passera comme la marque l’espérait. Considérée comme une trahison, la new 4L subira un déferlement de haine de la part de ce public de connaisseurs. Aux critiques assassines portées sur le style de la voiture et sur son incompréhensible positionnement de SUV, s’ajoutera une montée de violence comme le monde de l’industrie automobile n’en a jamais connu. À la vue de la nouvelle 4L, de nombreux visiteurs de Rétromobile ne tarderont pas à s’en prendre aux installations du stand Renault. Sans compter les sévices corporels portés aux cols blancs de l’ex-régie, présents ce jour-là. Notamment le DRH qui, après y avoir laissé sa chemise, échappera aux assaillants les plus vindicatifs en escaladant les grilles du parc des expositions de la porte de Versailles.
Un déchainement humain et médiatique sans précédent, qui obligera Renault à abandonner le projet. Alors que les véhicules de présérie finalisaient leur mise au point, aucune New 4L ne sortira des lignes de production de Fiat, à Melfi en Italie. Au grand désarroi de Sergio Marchionne.
La plus grosse déconvenue de l’histoire de Renault aura au moins eu le mérite de remettre sur pied Laurens Van Den Acker plus vite que prévu. Requinqué, il quittera sa maison de convalescence quelques jours après, la nouvelle direction de Renault lui ayant donné carte blanche pour plancher sur un nouveau projet de 4L, à partir d’une feuille blanche. Une affaire à suivre…
Ken Block's Hoonicorn Mustang passe en TWIN TURBO
Hoonicorn c'est la dernière monture de Ken Block lors de ses fameuses vidéos de gymkana. Avec ses 4 roues motrices et ses 850cv, les pneus souffraient vraiment. Mais cela ne suffisait pas, aussi les concepteurs ont décidé de passer la bête en bi-turbos!!! Le V8 Roush Yates de 410ci est donc reconduit mais passé au méthanol et équipé donc de deux turbos. Résultat on obtient 1400cv au banc!!! j'ai hâte de voir la prochaine vidéo pour savoir combien de temps les pneus vont tenir. En attendant, voici comment Ken Block aime ses chamalows, a point!!!
mercredi 12 octobre 2016
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